Description
Écrit par Joshua Whitehead, poète, romancier bispirituel, et membre oji-cri/nehiyaw de la Première Nation de Peguis, au Manitoba. Traduit par Sophie Voillot.
Une adolescente est maintenue captive à bord d’une île flottante pour millionnaires survivalistes. La mémoire d’un peuple s’écrit spontanément sur la peau de ses îhkwewak. Un camp de résistance autochtone accueille celleux qui refusent de participer à la colonisation interplanétaire. Une jeune fille bispirituelle rédige un manuel de survie à l’intention de ses pair·es. À travers de bouillonnants récits d’anticipation, une chose a toujours le dessus : l’amour, sous toutes ses formes.
Sous la direction de Joshua Whitehead, étoile montante de la littérature autochtoqueer, L’amour aux temps d’après est un projet collectif unique en son genre, au confluent de la science-fiction, de la culture queer et de la tradition autochtone. Neuf auteur·es des Premières Nations y imaginent des personnages LGBTQ2S+ dans un monde post-apocalyptique, mais sous l’angle de l’utopie, de l’espoir et de la solidarité.
Avec force, audace, une grande empathie et une imagination grisante, ces écrivain·es dansent entre futurisme et tradition, entre colère et rédemption pour former cette ode composite à la ténacité de la vie, à la beauté du monde et à la résilience de celleux qui l’habitent.
Couverture conçue à partir des oeuvres de l’artiste Dee Barsy
CE QUE LA PRESSE EN DIT :
« Plusieurs de ces nouvelles offrent un portrait d’une Terre morte d’où jaillit une vie nouvelle, chacune ultimement porteuse d’espoir, suggérant une manière d’avancer dans les ténèbres du présent. Puisant dans les profondeurs des puits de l’histoire et de l’expérience, ces puissantes histoires ne manqueront pas d’impressionner. »
Publishers Weekly
« Ces nouvelles sont des bouffées d’air frais dans le sous-genre de la littérature post-apocalyptique, souvent marqué par l’hyperindividualisme et le survivalisme. Une lecture essentielle pour tous ceux qui considèrent la science-fiction comme un moyen de créer des futurs nouveaux et différents. »
Booklist
« Entre ces pages, la survie est un exercice collectif. Et au milieu le chaos et l’instabilité de chaque récit, chaque histoire, renferme d’exquis moments d’intimité, rappelant au lecteur que l’amour sera toujours une raison de vivre. »
Vancouver Sun
« Ces nouvelles sont brillantes, éblouissantes et inspirées, et chacune d’entre elles a non seulement alimenté mon imagination, mais également rempli mon coeur, me rappelant à quel point la lecture d’une oeuvre écrite avec un amour absolu fait un effet différent. Découvrir L’amour aux temps d’après fut comme recevoir un verre rempli d’eau fraîche au milieu du désert. »
Alicia Elliott, autrice de A Mind Spread Out on the Ground
L’amour aux temps d’après est le livre dont nous avons besoin en ce moment, et bien au-delà du présent. Ses nouvelles sont dures, elles sont belles, elles sont drôles, tristes, effrayantes et remplies d’espoir. De bien des façons, les visionnaires bispirituel·le·s de ce recueil nous rappellent que la planète fait partie de notre famille. Je suis infiniment reconnaissant que ce livre existe, et plein de gratitude envers ces écrivain·es, ces artistes et l’éditeur de cette (ré)invention de futurs où l’amour, la libération et le rire des autochtones s’épanouit bien au-delà de l’imaginaire colonial. »
Daniel Heath Justice, auteur de Why Indigenous Literatures Matter
Une adolescente est maintenue captive à bord d’une île flottante pour millionnaires survivalistes. La mémoire d’un peuple s’écrit spontanément sur la peau de ses îhkwewak. Un camp de résistance autochtone accueille celleux qui refusent de participer à la colonisation interplanétaire. Une jeune fille bispirituelle rédige un manuel de survie à l’intention de ses pair·es. À travers de bouillonnants récits d’anticipation, une chose a toujours le dessus : l’amour, sous toutes ses formes.
Sous la direction de Joshua Whitehead, étoile montante de la littérature autochtoqueer, L’amour aux temps d’après est un projet collectif unique en son genre, au confluent de la science-fiction, de la culture queer et de la tradition autochtone. Neuf auteur·es des Premières Nations y imaginent des personnages LGBTQ2S+ dans un monde post-apocalyptique, mais sous l’angle de l’utopie, de l’espoir et de la solidarité.
Avec force, audace, une grande empathie et une imagination grisante, ces écrivain·es dansent entre futurisme et tradition, entre colère et rédemption pour former cette ode composite à la ténacité de la vie, à la beauté du monde et à la résilience de celleux qui l’habitent.
Couverture conçue à partir des oeuvres de l’artiste Dee Barsy
CE QUE LA PRESSE EN DIT :
« Plusieurs de ces nouvelles offrent un portrait d’une Terre morte d’où jaillit une vie nouvelle, chacune ultimement porteuse d’espoir, suggérant une manière d’avancer dans les ténèbres du présent. Puisant dans les profondeurs des puits de l’histoire et de l’expérience, ces puissantes histoires ne manqueront pas d’impressionner. »
Publishers Weekly
« Ces nouvelles sont des bouffées d’air frais dans le sous-genre de la littérature post-apocalyptique, souvent marqué par l’hyperindividualisme et le survivalisme. Une lecture essentielle pour tous ceux qui considèrent la science-fiction comme un moyen de créer des futurs nouveaux et différents. »
Booklist
« Entre ces pages, la survie est un exercice collectif. Et au milieu le chaos et l’instabilité de chaque récit, chaque histoire, renferme d’exquis moments d’intimité, rappelant au lecteur que l’amour sera toujours une raison de vivre. »
Vancouver Sun
« Ces nouvelles sont brillantes, éblouissantes et inspirées, et chacune d’entre elles a non seulement alimenté mon imagination, mais également rempli mon coeur, me rappelant à quel point la lecture d’une oeuvre écrite avec un amour absolu fait un effet différent. Découvrir L’amour aux temps d’après fut comme recevoir un verre rempli d’eau fraîche au milieu du désert. »
Alicia Elliott, autrice de A Mind Spread Out on the Ground
L’amour aux temps d’après est le livre dont nous avons besoin en ce moment, et bien au-delà du présent. Ses nouvelles sont dures, elles sont belles, elles sont drôles, tristes, effrayantes et remplies d’espoir. De bien des façons, les visionnaires bispirituel·le·s de ce recueil nous rappellent que la planète fait partie de notre famille. Je suis infiniment reconnaissant que ce livre existe, et plein de gratitude envers ces écrivain·es, ces artistes et l’éditeur de cette (ré)invention de futurs où l’amour, la libération et le rire des autochtones s’épanouit bien au-delà de l’imaginaire colonial. »
Daniel Heath Justice, auteur de Why Indigenous Literatures Matter